Social commerce, la technologie plus efficace pour la vente

Le social commerce peut être défini comme l’utilisation des réseaux sociaux à des fins de développement des ventes.
La mise en place peut se faire sur les réseaux sociaux, sur les sites de ventes ou même en points de vente physiques. Le concept de Social Commerce va refaçonner la façon dont nous consommons du contenu et réalisons nos achats en ligne. Le développement d’applications mobiles assure la fluidité entre les activités sociales et les transactions. Il a été dévéloppé par David beisel

Les acteurs majeurs du commerce social sont les consommateurs qui prennent plaisir à partager des informations sur leurs achats et donner leurs avis afin de conseiller l’ensemble de la communauté des internautes. Il donne aux marques , la possibilité de s’intéresser et de s’adapter aux avis des internautes et de leur faire vivre une expérience différente. Le commerce social peut être mis en place via les réseaux sociaux, sur le site web de la marque ou encore directement en point de vente via une stratégie web-in-store.
On peut donc considérer le social commerce comme l’utilisation des réseaux sociaux pour obtenir directement des transactions.
Aujourd’hui, le domaine du commerce social s’est élargi pour inclure un des outils et des contenus provenant des médias sociaux utilisables dans le cybercommerce, notamment dans l’industrie de la

Les « 6 C » des technologies sociales ont été au cœur du débat lors de la BankInter Foundation for Innovation Conference en 2011. Les « 6 C » comprennent les « 3 C » du cybercommerce, ainsi que trois nouveaux critères plus adaptés à l’ère des réseaux sociaux.

Contenu : Échanger avec les clients, prospects et actionnaires à travers un contenu de qualité publié sur le web. Les premiers exemples ont été les sites vitrines pour les marques, mais aujourd’hui, de vastes quantités d’informations sont publiées tous les jours sur le web. Le moteur de recherche Google a été un acteur essentiel pour mettre en place l’indexation de ces informations et les rendre facilement accessibles à tous.

Communauté : Considérer votre audience comme une communauté à part entière dans le but de construire des relations durables tout en fournissant une valeur tangible. Les premières créations de communautés ont été réalisées via l’inscription (opt-in) et engagées via des programmes d’emailings puis développées dans des forums, chats et communautés d’internautes. Les réseaux sociaux  sont la dernière incarnation de ces communautés et parmi ces nombreux réseaux sociaux, Facebook  en est la principale plateforme pour partager et réaliser des interactions avec les individus de la communauté.

Commerce : Être capable de répondre aux besoins des clients via une présence transactionnelle sur le web, par exemple les détaillants, les banques en ligne, les compagnies d’assurances, les sites d’agences de voyages qui fournissent des services les plus utiles de type BtoC Des sites BtoB s’étendent au stockage en ligne et accueillent de l’approvisionnement de produits et des services d’accomplissement. Amazon, apparu dans les années 1990, a commencé à dominer le commerce BtoC grâce à l’extension de ses services au-delà du commerce traditionnel au détail.

Contexte : Suivre à la trace, grâce au monde connecté, des événements en temps réel , possible principalement via des dispositifs mobiles. Un paiement en ligne  via Google Checkout  ou un check-In via Facebook ou Foursquare  relie un événement réel à des données virtuelles, comme une entreprise ou un lieu. Ceci est un élément essentiel du commerce social où les données sont maintenant disponibles pour des organisations souhaitant proposer des produits et des services aux consommateurs.

Connexion : Redéfinir et archiver les relations entre individus avec les réseaux sociaux. Ces relations peuvent provenir du monde physique ou en ligne. Linkedin,Facebook et Twitter représentent les trois principales catégories de réseaux sociaux : le Professionnel, le Social et l’Informatif. Les relations, la portée de celles-ci et les interactions entre des individus sont une base pour les actions de commerce social.

Conversation : Dire que tous les marchés sont la finalité des conversations, telle est l’une des thèses de The Cluetrain Manifesto , mais la tendance est à l’inverse pour le commerce social. Cependant, aujourd’hui, toutes les conversations sont des marchés. Une conversation entre deux partis fera probablement ressortir un besoin qui pourrait être accompli : c’est un marché potentiel pour des fournisseurs. Le défi pour ces fournisseurs est de profiter de ces conversations pour proposer leur gamme de produits et services. Des exemples simples de ces « conversations qui suggèrent la demande» : les gens montrent leurs objets de désir sur leurs tableaux  Pinterest ou un « j’aime » sur un thème d’une page Facebook.

En utilisant la théorie des « 6 C », les organisations tentent de dépasser les notions de « médias sociaux » (définis comme les sentiers d’interactions) et de se déplacer peu à peu vers « le commerce social ». Cela a ainsi pour but de démultiplier la structure originelle du cybercommerce : « contexte, connexion, conversation ».

La meilleure success story dans ce domaine est celle de WeChat en Chine
WeChat est une application mobile messagerie textuelle et vocale développée par le géant chinois Tencent Holdings Limited. Elle permet également les appels audio et vidéo. L’application est très populaire en Chine et compte plus d’un milliard de comptes dans le monde en mars 2018

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